Il y a des jours où les mots sont capricieux. On voudrait les aligner en phrases cohérentes et non, ils refusent et se retranchent derrière des barricades d'idées sauvages. Des idées insoumises et rebelles, de ces idées qui poussent à tout planter là et de s'étourdir ailleurs, par exemple en écoutant le vent qui s'acharne encore un peu contre les arbres déjà meurtris.
Où court-il comme ça ?
C'est la pleine lune, qu'ai-je accompli ces dernières semaines ?
Je me sens comme le temps, le vent qui court, au loin l'orage et la marée. J'entends le vent qui claque contre les vitres, il m'apaise et me remet à ma place mais en même temps m'insuffle une part de lui qui me donne envie de courir, mais je ne sais où, pas encore.
Où court-il comme ça ?
C'est la pleine lune, qu'ai-je accompli ces dernières semaines ?
Je me sens comme le temps, le vent qui court, au loin l'orage et la marée. J'entends le vent qui claque contre les vitres, il m'apaise et me remet à ma place mais en même temps m'insuffle une part de lui qui me donne envie de courir, mais je ne sais où, pas encore.
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